réunir par les échanges, l'amitié et le culte tous les chrétiens qui n'adhèrent pas au dogme de la Trinité
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Nous te louons pour « l’homme et le bétail » (Ps 36, 7), « brebis et bœufs, tous ensemble, bêtes même sauvages, oiseaux du ciel et poissons de la mer, parcourant les sentiers des eaux » (Ps 8, 8-9) ; pour « la grande force du cheval » (Ps 33, 17), pour « le lion dans son fourré » (Ps 10, 9), pour « le lionceau tapi dans sa cachette » (Ps 17, 12) « qui rugit après la proie et réclame à Dieu son manger » (Ps 104, 21), pour « la biche qui languit après l’eau vive » (Ps 42, 2), pour l’agilité « de ses pieds lorsqu’elle se tient debout sur les hauteurs » (Ps 18, 34), pour « le veau et le petit buffle du Liban » (Ps 29, 6), pour « les taureaux des maisons et les boucs des bergeries » (Ps 50, 9), pour « l’oiseau qui fuit vers sa montagne » (Ps 11, 1).
onagres
Pour « les ailes de la colombe qui s’envole et se pose » (Ps 55, 7), pour ces mêmes ailes « qui se couvrent d’argent ; avec sur leurs plumes l’éclat de l’or vert » (Ps 68, 14), pour « le passereau qui a trouvé une maison et l’hirondelle un nid pour elle, où elle pose ses petits » (Ps 84, 4), pour « l’aigle qui renouvelle sa jeunesse » (Ps 103, 5), pour « les petits du corbeau qui crient et à qui Dieu dispense » (Ps 147, 9), pour les sources des ravins qui « abreuvent toutes les bêtes des champs ; les onagres assoiffés les espèrent ; l’oiseau des cieux séjourne près d’elles, sous la feuillée il élève la voix » (Ps 104, 11-12). « Les arbres de Dieu se rassasient ; les cèdres du Liban qu’il a plantés, c’est là que nichent les passereaux ; sur leur cime la cigogne a son gîte ; aux chamois, les hautes montagnes, aux gerboises, l’abri des rochers » (Ps 104, 16-18). Tu prends pitié du « pélican du désert et de la hulotte des ruines » (Ps 102, 7-8).
Nous te louons pour « tout fauve des forêts, animaux des montagnes, oiseaux des cieux, toute bête des champs » (Ps 51, 11). « Tu poses la ténèbre, c’est la nuit, toutes les bêtes des forêts s’y remuent » (Ps 104, 20). « Le soleil se lève, toutes les bêtes des forêts se retirent et vont à leur repaires se coucher ; l’homme sort pour son ouvrage, faire son travail jusqu’au soir » (Ps 104, 22-23).
* L’onagre (Equus hemionus onager) est un ongulé intermédiaire entre le cheval et l’âne. Il est originaire d’Iran et l’espèce est en voie de disparition. Etymologie : du grec onos (âne) et agrios (sauvage). On compte aujourd'hui moins de 400 individus à l'état sauvage. Dans les parcs zoologiques eux-mêmes, le nombre d'individus élevés reste très faible. Début 2004, 74 onagres (24 mâles et 50 femelles, d'après l'EAZA Yearbook 2003), étaient élevés dans 16 institutions zoologiques européennes le plus grand nombre d'individus (11) se trouvant à la Réserve Africaine de Sigean, à 15 km au sud de Narbonne (lien). Cette réserve française (où la photo a été prise) les accueille depuis 1997
à suivre ...