réunir par les échanges, l'amitié et le culte tous les chrétiens qui n'adhèrent pas au dogme de la Trinité
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Nous te louons pour « le firmament qui annonce l’œuvre de tes mains et les cieux qui racontent ta gloire, et aussi la nuit qui transmet la connaissance » (Ps 19, 2). « A toi le jour, et à toi la nuit, toi qui agenças la lumière et le soleil, toi qui posas toutes les limites de la terre, l’été et l’hiver, c’est toi qui les formas » (Ps 74, 16-17). Nous te louons pour le soleil qui comme « un époux qui sort de son pavillon se réjouit, vaillant, de courir sa carrière : à la limite des cieux, il a son lever et sa course atteint à l’autre limite, et rien qui soit soustrait à sa chaleur » (Ps 19, 7), et aussi pour la lune « témoin fidèle dans la nue » (Ps 89, 38). « Tu as fait la lune pour marquer les temps ; le soleil connaît son coucher » (Ps 104, 19). « Il a fait les grands luminaires, car éternel est son amour ! Le soleil pour gouverner sur le jour, la lune et les étoiles pour gouverner sur la nuit » (Ps 136, 7-9). Ô Dieu, « Les cieux rendent grâce pour ta merveille » (Ps 89, 6). « Exulte la terre, que jubilent les îles nombreuses ! » (Ps 97, 1). « Depuis longtemps tu as fondé la terre et les cieux sont l’ouvrage de tes mains » (Ps 102, 26). « Tu poses la terre sur ses bases, inébranlable pour les siècles des siècles. De l’abîme tu la couvres comme d’un vêtement » (Ps 104, 5-6). « Alléluia ! Louez Dieu depuis les cieux ; louez-le dans les hauteurs ; louez-le, tous ses anges ; louez-le, toutes ses armées ! Louez-le, soleil et lune ; louez-le, tous les astres de lumière ; louez-le cieux des cieux, et les eaux de dessus les cieux ! Louez Dieu depuis la terre, monstres marins et tous les abîmes, feu et grêle, neige et brume, souffle d’ouragan, l’ouvrier de sa parole, montagnes et toutes les collines […] » (Ps 149, 1-9)
Louons Dieu pour sa présence dans la Nature, que nous ressentons
Nous te louons pour « les ailes du vent où plane ta présence » (Ps 18, 11), pour « la ténèbre d’eau, nuée sur nuée, comme une tente où tu demeures » (Ps 18, 12), toi « le Chevaucheur des nuées » (Ps 68, 5) « et des cieux » (Ps, 68, 34). « Vêtu de faste et d’éclat, drapé de lumière comme d’un manteau, tu déploies les cieux comme une tente, tu bâtis sur les eaux tes chambres hautes ; faisant des nuées ton char, tu avances sur les ailes du vent ; tu prends les vents pour messagers, pour serviteurs un feu de flammes » (Ps 104, 1-4). « Faisant monter les nuages du bout de la terre, il produit avec les éclairs la pluie, il tire le vent de ses trésors » (Ps 135, 7).
à suivre ...