Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contacts

Jean-Claude Barbier, membre permanent du conseil d'administration de l'AFCU, adresse

Archives

19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 12:34

La congrégation unitarienne de Prague fut fondée en 1922 par le révérend Norbert Capek d'abord comme étant de "religion libérale", puis unitarienne à partir du 30 juin 1930 avec le statut de société religieuse (Religious Society of Czech Unitarians, RSCU), localement connue aussi plus simplement comme "Unitaria".

 

Elle comptait quelques 600 fidèles à la fin du XXème siècle ; aujourd'hui les effectifs sont plus réduits : environ 30 à 50 pratiquants réguliers lors des cultes. Les unitariens de Prague ont célébré le 90ème anniversaire de la fondation de leur congrégation à l'occasion de leur cérémonie annuelle des fleurs qui, depuis 1922 à l'initiative de Norbert Capek, est organisée chaque mois de juin. Ce fut donc, pour cette année, le dimanche 10 juin. Plus de 130 personnes y participaient.


Nos amis tchèques reçurent de nombreuses photos de fleurs de par tout le monde. Au nom des unitariens français, Samantha Fink envoya une corbeille de fleurs par messagerie électronique.


Bildtankstelle_1_029.jpg

 

En plus, des personnalités unitariennes américaines et britanniques firent le déplacement, dont les révérends Eric Cherry (représentant l'UUA), Bill Darlinson (vice-président des unitariens britanniques), Steve Dick (secrétaire exécutif de l'ICUU), etc., conférant ainsi à ce culte une dimension internationale.

 

L'Orchestre de l'esprit (Orchestra di Spirito) et les chorales "Uni-sono" et du "Saint esprit" (Uni-Sono choir and the Church Choir of the Holy Spirit) accompagnèrent l'évènement. La vidéo, de qualité, a été réalisée par un professionnel, Josef Mašek.

 

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 00:09

bouquet-de-fleurs--Christia-Sylf--musee-des-comtes-d-Urgel.jpg

bouquet de fleurs peint par Christia Sylf, Musée des comtes d'Urgel, Saint-Montan (France)

 

"Le fait que chaque croyant est appelé à être prêtre et prophète est symbolisée par une cérémonie très simple qui est célébrée chaque printemps par quelques-unes de nos congrégations, à savoir la communion des fleurs *.

* ndlr : Norbert Capek, initiateur de ce rituel, n'avait pas, quant à lui, retenu cette expression de communion

 

Elle nous vient de ce qui était, avant la Deuxième Guerre Mondiale, la plus grande congrégation unitarienne dans le monde : celle de Prague en Tchécoslovaquie. Son ministre, Norbert Capek, a créé cette communion afin d’inclure chacun dans la congrégation, indépendamment de sa foi ou de son origine, qu’elle fusse protestante, catholique, juive ou agnostique. Chaque concélébrant est invité à apporter une fleur ou un peu de verdure à l’église, où on la reçoit à son arrivée. Chaque contribution est unique comme l’est chacun des concélébrants. Au cours du service les fleurs sont collectées dans des corbeilles, consacrées par une prière écrite par Capek, et ensuite distribuées. Ainsi, chacun repart avec un peu de beauté apportée par quelqu’un d’autre.

 

Capek s’opposa ouvertement aux Nazis, et mourut à Dachau. Sa congrégation est aujourd’hui l'ombre de ce qu’elle était autrefois. Mais la communion des fleurs est restée. Elle nous rappelle les dons certes périssables mais avec lesquels nous pouvons nous encourager, en nous inspirant mutuellement. Elle perpétue la mémoire de Capek ainsi que celle des autres martyrs, et aide à renouveler notre conscience de ceux qui,“ connus ou inconnus, commémorés ou oubliés”, vivent, même au moment présent, comme serviteurs de l’humanité."

 

A Chosen Faithpar John Buehrens et Forrest Church, Beacon Press, Boston, 1989/1998, pp. 73-74, traduit en français par Luc Schneider

Partager cet article
Repost0
3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 12:56

bouquet-de-fleurs.JPGDes unitariens-universalistes américains parlent de ce rituel comme d’une "Flower Communion", laissant ainsi supposer qu’elle serait, pour tous, l’équivalent d’une communion (sous entendu) chrétienne et en prendrait le relais dans un esprit plus ouvert, universaliste. 

Nous avons déjà vu, à propos du calice des unitariens, comment nos amis américains, par manque de rigueur, avaient cette tendance à entretenir volontiers des ambiguïtés afin de satisfaire tout le monde. Cela ne peut guère aboutir à une théologie tant qu’on nage dans un consensuel avec tout et son contraire. Le retour à l’histoire est, là aussi, nécessaire pour comprendre le sens premier d’une institution.

Dans sa note de présentation " Un service de célébration pour les libéraux religieux " (texte traduit en français par la Fraternelle unitarienne), Reginald Zottoli, évoque un début de déchristianisation : 
" Le service de communion des fleurs a été créé par Norbert Capek (1870-1942), fondateur de l’Eglise unitarienne en Tchécoslovaquie. Il introduisit cette forme de communion dans cette Eglise le 4 juin 1923. Depuis quelque temps, il ressentait le besoin d’une gestuelle symbolique qui créerait des liens plus étroits entre les personnes. La forme devait convenir à ceux qui avaient abandonné d’autres traditions religieuses. Le service chrétien traditionnel de communion avec du pain et le vin était inacceptable pour les membres de son église, en raison de leur hostilité envers le catholicisme. Il se tourna donc vers la beauté de la campagne, pour y trouver les éléments d’une communion authentique. Ce fut un tel succès que chaque année, avant les vacances d’été, le service fut répété ".

Même son de cloche, sans ambiguïté, dans le numéro du Quest de juin 2002 :

" Quand Norbert Capek développa le nouveau rituel des fleurs, il était en opposition avec les rituels traditionnels du christianisme. Il n’aurait jamais utilisé le mot ‘communion’ dans le contexte de la cérémonie des fleurs. En raison du respect pour Capek et de l’observance de ce rituel, nous utiliserons les mêmes termes qu "en tchèque, ‘Festival avec des fleurs’ ou ‘Célébration avec des fleurs’ (note de la rédaction du journal).

Récemment, le 7 juillet 2007, Jaume de Marcos a recueilli cet avis auprès de Joseph Ben David, ministre du culte tchèque, qui a connu Norbert Capek (texte traduit en français par Marie-Claire Lefeuvre).

 

" En Tchécoslovaquie cet événement est appelé kvetinova slavnost ; kvetinova signifie " des fleurs " au pluriel et le mot " slavnost " signifie célébration.

Selon le dictionnaire, cela pourrait aussi signifier une occasion de se réjouir, lors de festivités particulières, d’un heureux événement, quel qu’il soit, de le distinguer par quelque joyeux intermède, par l’accomplissement public d’un sacrement ou d’une cérémonie solennelle d’un rituel approprié.

Le mot communion pourrait aussi avoir plusieurs significations :

  • la réalisation concrète d’une occasion de partager, par exemple des réflexions ou des sentiments ;
  • une camaraderie religieuse ou spirituelle ; un groupe de chrétiens qui a les mêmes convictions et les mêmes rites ; le nom d’un rite
  • La communion ecclésiastique
  • Le sacrement de l’Eucharistie reçu par une assemblée
  • les éléments consacrés de l’Eucharistie
  • la partie de la messe ou d’une liturgie où l’Eucharistie est reçue.

La signification la plus proche de kvetinova slavnost - je peux imaginer ce qu’en pensait Capek - serait une célébration florale ; cela ne voudrait pas dire une célébration des fleurs pour elles mêmes, mais, par la bénédiction des fleurs, en faire un symbole et créer ainsi entre les participants des sentiments de paix et d’unité harmonieuse.

On pourrait se tromper sur le mot communion si on insistait davantage sur son emphase ecclésiastique. On lui donnerait alors un accent sectaire qui n’est pas du tout dans l’esprit de l’unitarisme-universalisme. Toutefois, N. Capek aurait compris l’utilisation de ce terme dans le cadre de l’unitarisme-universalisme, mais il vaut mieux l’appeler " la célébration florale ", terme plus approprié pour des festivités internationales ". 

Alors si les unitariens tchèques parlent ainsi ... respectons leur rite puisqu'ils en sont les fondateurs et évitons de passer les cérémonies à la moulinette de l'universel.

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 19:13
Par ses écrits, sa pensée rigoureuse et par son affabilité, Roger Sauter (1919-2007) a été l’un des pionniers de l’unitarisme francophone. 

Il participa en 1989 à la rencontre du Lignon animée par Claude-Jean Lenoir, qui était alors pasteur au Lignon dans la banlieue genevoise, sur le thème : " Jésus est-il Dieu ? ", puis à diverses assemblées générales de l’Association unitarienne francophone (Nancy en 1990, Paris en 1992, Lignon en 1996, Strasbourg en 1998, Ferney-Voltaire en 2001). Il tint plusieurs conférences au temple de la Fusterie dans le cadre de l’Union protestante libérale (ULP) de Genève. Il fut un temps président du conseil presbytéral de sa paroisse, au Lignon.

C’est la page des débuts de l’unitarisme francophone européen qui commence à se tourner. Il nous en reste des écrits de grande qualité que vous pourrez trouver sur notre site documentaire " La Besace des unitariens ".

Il était âgé de 88 ans et son décès ne nous a pas surpris. Il advint le jeudi 19 juillet et sa famille nous prévint aussitôt. Les obsèques eurent lieu le lundi suivant. L’allocution que nous fîmes à cette occasion, au nom des unitariens, a été mise en ligne sur le site de nos Actualités unitariennes

Gen--ve--Michel-Servet--oeillet-24-juillet-07.JPGoeillet blanc accroché au lierre de la stèle de Michel Servet à Chambel, provenant de la cérémonie des fleurs faite pour les obsèques de Roger Sauter.

 

Chrétien de grande sobriété, toujours orienté sur l’essentiel, Roger n’avait pas demandé de cérémonie religieuse ; ses enfants respectèrent son choix. Nous avons alors proposé la cérémonie des fleurs.

C’est l’une des fleurs du bouquet, un œillet blanc, que je pris pour aller la déposer à la stèle dédiée à Michel Servet, avenue de Beau-Séjour, au lieu-dit, la Colline, le lendemain matin, avant que de reprendre le train. Roger, avec son ami unitarien Heinz Buschbeck, m’y avaient conduit le dimanche 21 octobre 2001, à la sortie de l’AG de l’Association unitarienne francophone tenue à Ferney-Voltaire. 

2001 – 2007, je mesurais le temps écoulé et les progrès de notre jeune mouvance unitarienne où beaucoup reste encore à faire. Mais, au-delà de ce deuil, que d’espoirs ! avec des unitariens suisses toujours motivés et désormais plus nombreux ...

Nous remercions la famille de Roger et nos amis unitariens de Suisse pour leur accueil. Jean-Claude Barbier 

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 12:54

Tch--coslovaquieMaja-et-Norbert-Kapec.gif























"La Flower Celebration" (la célébration avec des fleurs), Quest, juin 2002, traduction en français transmise par Alain Lauzet.


J’ai demandé à Iva Fišerová, leader distingué des unitariens tchèques et membre de la Church of the Larger Fellowship (CLF)*, que certains connaissent sous le nom de Iva Kocmanova, de nous faire part de son expérience de la célébration aux fleurs. Elle fait référence à deux célébrations. La première eut lieu il y a 50 ans [pour la cérémonie décrite ci-dessous car le rite date de 79 ans, depuis 1923] et la seconde en juin 2000, celle-ci célébrant le 70ème anniversaire de la fondation officielle de l’Eglise et la récupération de l’édifice historique ** à l’issue d’un déplacement provisoire mais très bouleversant. Nous vous remercions, Iva. Jane Rzepka

* La CLF est une Eglise par correspondance à destination des unitariens et autres croyants libéraux isolés. Alfred Schweitzer s’y inscrivit, sans pour autant abandonner le protestantisme libéral. Elle publie la revue mensuel "Quest" (dont le n° de juin 2002 est entièrement consacré à la Flower Celebration). Pour une présentation de cette Eglise, qui date de 1944, voir le bulletin n° 37, novembre 2004, de la Correspondance unitarienne.

** un ancien palais médiéval restauré en 1926 avec l’aide financière de l’American Unitarian Association (AUA) et l’Association unitarienne britannique et pour l’Etranger.


Voici le témoignage de Iva Fišerová :


" Une matinée ensoleillée… une mamie se promène en tenant la main de son petit-enfant… elle apporte les fleurs les plus magnifiques de son jardin ; des familles entières entrent dans une maison imposante… un déluge de fleurs se trouve sur le plateau d’une salle de concert parmi les plus importantes de la ville… une communauté animée vit le bonheur partagé du rassemblement… des milliers de gens se donnent des salutations d’amitié… une ambiance chaleureuse et festive… la joie personnelle d’appartenir à cette communauté… début des années 50 dans un pays communiste… la Tchécoslovaquie… des émissions de radio en direct…. Ce sont des morceaux de souvenirs d’enfance qui ont profondément touché ma vie et que je chéris depuis ces jours-là. Faire partie d’une telle communauté pleine de joie !

La fleur est le symbole le plus adoré des unitariens tchèques : deux tournesols font partie de notre blason ; des fleurs font l’objet vivant de tant des chansons de Cǎpek ; le seul rite des unitariens tchèques – la célébration aux fleurs. Le symbole des différents êtres uniques – fleurs / gens – se réunissant pour créer un bouquet unique. Enrichir sa diversité en appartenant. S’enrichir en adhérant. Partir et recevoir une fleur comme symbole de quiconque dans l’assistance, que je dois accepter comme mon frère ou ma sœur.


Cinquante ans se sont écoulés. Cinquante années d’une lutte pour maintenir en vie l’Eglise libérale sous un régime totalitaire [le régime communiste]. Puis, après la Libération, la lutte a continué.

La célébration aux fleurs, après sept ans durant lesquels notre Eglise [donc après la Libération du régime communiste] s’est trouvée privée de son édifice et dût s’exiler, fut de nouveau organisée. Le matin [nous sommes en juin 2000] où tout le monde fut invité à revenir au bercail spirituel adoré est ensoleillé. Bon nombre de ceux qui entrent à l’église sont émus. Les unitariens tchèques faisant partie des trois congrégations existantes s’assemblent avec des invités et pasteurs éminents représentant l’Association unitarienne-universaliste (UUA), les unitariens britanniques, le Conseil international des unitariens et universalistes (ICUU) et l’Association internationale pour la liberté religieuse (IARF) qui sont devenus leurs amis proches durant la période de lutte. Sur scène, sont présentes les fleurs les plus magnifiques apportées, pour cette occasion festive, en provenance des jardins. De nouveaux souvenirs, pour cette communauté pleine de joie, seront chéris dans les années à venir.

Nous nous battons pour mettre en pratique les idées nobles du fondateur de notre Eglise, Norbert Fabián Cǎpek. Notre rêve de justice s’est enfin réalisé. Après s’y être consacrés pendant des années, la résistance et la mobilisation des unitariens tchèques offrent une nouvelle opportunité d’élever l’Eglise aux fins les plus nobles. Alléluia ! "

L’article du Quest est accompagné des photos de Maja et Norbert Capek, ainsi que de la photo de la première célébration aux fleurs après la Deuxième guerre mondiale, à la Salle Smetana, à Prague.

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 12:04

c--r--monie-des-fleurs----Brno-en-2007.jpg

cérémonie des fleurs à Brno (République tchèque), juin 2007


Une Congrégation religieuse libérale fut fondée à Prague en 1922 à l’instigation du révérend Norbert Capek (ancien ministre baptiste) et elle se dénomma " unitarienne " à partir du 30 juin 1930 : Religious Society of Czech Unitarians. Cette congrégation libérale adopta l’inclusivité prônée par les congrégations unitariennes américaines à la fin du XIXème siècle, à savoir l’ouverture des Eglises aux agnostiques et aux athées en recherche spirituel (les humanistes religieux) : seules les vertus morales étaient désormais requises. 

Si bien que la congrégation tchèque se retrouva composite et se posa alors la question de la communion chrétienne, laquelle n’avait plus de sens pour une assemblée devenue non unanime quant à sa foi.

Le 4 juin 1923, mettant à profit la fin du printemps où les fleurs sont abondantes dans nos jardins, Norbert Capek proposa un " festival " des fleurs. Chacun fut invité à cueillir une fleur de son jardin et à l’amener au culte. Là, les fleurs apportées par les uns et les autres, symbolisant en quelque sorte les individualités, furent mises en un vase à l’entrée de l’église, formant ainsi un bouquet qui, par la variété de ses coloris, désignait la richesse d’une assemblée réunie et fraternelle

Ce bouquet fut déposé sur une table au chœur du lieu de culte ; puis, à la fin de la cérémonie, chacun repartit avec une fleur différente de celle qu’il avait amenée, témoignant ainsi de l’échange réalisé avec les autres.

Sa femme, Maja V. Oktavec, introduisit la cérémonie aux Etats-Unis au printemps 1940, à l’Eglise de Cambridge dans le Massachusetts. Elle le fit en sa qualité de ministre du culte car elle avait été ordonnée en 1926.

En France, cette cérémonie des fleurs se fit pour la première fois le jeudi 21 septembre 2006, lors du mariage d’un couple canadien de spiritualité unitarienne-universaliste à la chapelle de Pise, dans le Gard (voir le discours d’accueil aux mariés prononcé à cette occasion par Jean-Claude Barbier, secrétaire général de l’AFCU, dans la Correspondance unitarienne n° 63, janvier 2007). 

Puis elle se fit à deux autres reprises à Paris, lors de célébrations organisées par la Fraternelle unitarienne les samedis 20 janvier et 17 mars 2007.

En Suisse, les obsèques de Roger Sauter, au crématorium du cimetière Saint-Georges du Petit-Lancy, en banlieue genevoise, le lundi 23 octobre 2007, se firent autour de son cercueil et d’un bouquet ainsi composé.

Chaque fois, les participants sont fort émus par une gestuelle à la fois simple, universelle et si profondément fraternelle. Ils y participent d’ailleurs très volontiers et très spontanément. 

Les unitariens peuvent être fiers de cette cérémonie qui réunit les gens au-delà des convictions les plus diverses. Nous ne pouvons que conseiller ce rituel, plein de beauté et de sens, chaque fois que les chrétiens se retrouvent avec d’autres et que le partage du pain et du vin ne peut pas se faire à l’ensemble de l’assemblée présente.


Vue l'importance de ce rite et le bon accueil qui lui est fait chaque fois qu'il est organisé, le site de l'AFCU ouvre une rubrique le concernant. Vous y trouverez plusieurs articles. Si vous souhaitez organisez une telle célébration, que vous soyez chrétien, autre croyant ou non croyant, vous pouvez contacter l'AFCU. Notre aide est bien entendu gratuite.

Partager cet article
Repost0